Jo,
C'est peut-être étrange de t'écrire ici, mais, vois-tu, ce soir j'ai envie de te dire "merci." Merci de m'avoir rendue plus forte, même si ce n'était pas ton but, de m'avoir fait être moins naïve. Je relis les quelques messages que j'ai pu posté te concernant. Je parlais de toutes ces nuits où il n'y avait que tes envies qui comptaient. De ton infirmière. Ah! Parlons en de cette nana. Je me suis toujours posée la question (et toutes les nanas à qui j'en ai parlé) si elle existait ou non. Si tu te foutais de moi ou non. Remarque, dans les deux cas, on en revient au même. Un homme qui parle de mariage, d'enfant, de vie commune et qui n'est même pas capable de dire non à une autre femme, comment devrais-je le qualifier ? J'aurais du réagir dès le début tu sais, et pourtant, dis-toi que je ne le regrette pas. Puis que tous tes coups bas m'ont plus ou moins aider à grandir. Qu'à chaque fois que tu me blessais, je me suis relevée, plus forte que le jour précédant. Combien de fois ai-je céder à tes avances ? Je ne saurais même plus les compter. Mais crois-moi, aujourd'hui, je suis bien fière de te dire, que tu n'es plus rien. Que j'ai su me reconstruire sans toi. Et que je revis, grâce à une autre personne. 

C'est un adieu Jonathan, sans regrets.
Ma vie est plus belle ainsi.
 

" Mon (petit) Homme,
Tu sais, avant de te connaître, j'étais perdue, je m'étais perdue. J'avais peur de ne pas pouvoir me relever... Et sans savoir pourquoi, tu guéris mes  plaies un peu plus chaque jour.. "
C'était hier..

Que vais-je faire sans toi?